Privations matérielles et sociales depuis 2013 Enquête SRCV - Insee Résultats
Avertissement : Depuis la parution de l’Insee Résultats publié le 12 juillet 2022 « Privations matérielles et sociales depuis 2013 », les pondérations de l’enquête SRCV ont été modifiées pour les années 2020 et 2021 suite à des travaux méthodologiques. Les données de privation matérielle et sociale ont été impactées par cette modification et sont ainsi actualisées pour les années 2020 et 2021 dans cette nouvelle publication.
Cet Insee Résultats explore la privation matérielle et sociale déclarée dans l'enquête Statistiques sur
les Ressources et les Conditions de Vie (SRCV). L'indicateur européen de privation
matérielle et sociale mesure la part de la population se trouvant dans l’incapacité
de couvrir les dépenses liées à au moins cinq éléments de la vie courante sur les
13 considérés comme souhaitables, voire nécessaires, pour avoir un niveau de vie acceptable.
Il est décliné selon l'âge, le sexe, le niveau de vie du ménage, la composition de
la famille, le diplôme, la catégorie socioprofessionnelle, la situation vis-à-vis
de l'emploi, la taille de l'unité urbaine de la commune de résidence et la limitation
dans les activités courantes.
Deux séries de tableaux sont mis à la disposition selon le champ considéré. Une
première série de tableaux présente l’indicateur de privation matérielle et sociale
calculé sur l’ensemble de la population. Cette série est complétée par les données
relatives aux sept privations mesurées au niveau du ménage ; celles relatives aux
six privations individuelles ne sont pas disponibles sur ce champ. La seconde série
détaille la privation matérielle et sociale et l’ensemble des 13 items calculés sur
la population des 16 ans ou plus.
Après un an de pandémie, une personne sur dix est en situation de privation matérielle et sociale en 2021 En 2021, moins de personnes en situation de privation matérielle et sociale à tous les âges
En 2021, 11,3 % des personnes vivant en France métropolitaine sont pauvres en conditions de vie selon l’indicateur européen de privation matérielle et sociale. Celui-ci est fondé sur la mesure des conséquences de la faiblesse des revenus : privations, impossibilité d’acquérir ou de consommer certains biens ou de participer à certaines activités sociales ou de loisirs. Après 13,4 % en 2020, ce taux, observé entre février et avril chaque année, baisse nettement en un an. Entre 2013 et 2020, la part des personnes en situation de privation matérielle et sociale a oscillé entre 12,2 % et 13,4 % (figure 1).
tableauFigure 1 – Privation matérielle et sociale
Taux de privation matérielle et sociale (en % ) | |
---|---|
2013 | 12,4 |
2014 | 13,7 |
2015 | 12,5 |
2016 | 12,7 |
2017 | 12,2 |
2018 | 12,6 |
2019 | 13,1 |
2020r | 13,4 |
2021p | 11,3 |
- r : données révisées, p : données provisoires. En 2020, l’enquête SRCV a fait l’objet d’une refonte : la durée du panel est passée de 9 ans à 4 ans et les traitements statistiques (pondérations et imputations) ont été revus. Cette refonte génère une rupture de série, qui impacte légèrement à la hausse le taux de privation matérielle et sociale.
- Lecture : en 2021, 11,3 % de la population est en situation de privation matérielle et sociale contre 13,4 % en 2020.
- Champ : France métropolitaine, personnes vivant en logement ordinaire
- Source: Insee, enquêtes SRCV 2013 à 2021.
Les confinements et les restrictions d’activités sociales mis en place pour contenir la propagation de l’épidémie de Covid-19 ont affecté les modes de vie et de consommation des Français. Qu’elles soient volontaires ou contraintes par la loi, les restrictions de déplacements et d’activités sportives, celles liées aux sorties culturelles, de loisirs ou de sociabilité, les fermetures de commerces et services, ont limité les possibilités de consommer et donc allégé les dépenses des ménages. Au niveau macro-économique, la consommation a ainsi connu une chute historique en 2020 et l’épargne des ménages a fortement augmenté [Martin, 2021]. L’analyse des données de transactions bancaires d’un échantillon de ménages a aussi montré un impact de la crise sanitaire bien plus marqué sur la consommation et l’épargne que sur les revenus, affectés de manière limitée et temporaire en 2020 [Bonnet et al. 2021]. Ainsi, la proportion de personnes en situation de privation matérielle et sociale a nettement baissé entre début 2020 et début 2021 alors même que le pouvoir d’achat des ménages est resté stable en 2020 [Martin, 2021 ; Buresi, Cornuet, 2021].
En 2021, la période de collecte de l’enquête a coïncidé avec une période marquée par de fortes restrictions dues à la crise sanitaire : la non-participation à des activités de loisirs payantes pour des raisons autres que financières explose (63,8 % en 2021, contre 32,0 % en 2020, (figure 2). À l’inverse, les personnes déclarent moins souvent se priver de ces activités pour des raisons financières (11,2 % en 2021, contre 14,2 % en 2020). Or, le motif financier conditionne la prise en compte dans l’indicateur de privation matérielle et sociale. Dans le même temps, la moindre participation à des activités payantes a relâché les contraintes sur d’autres dépenses : les privations pour raisons financières diminuent dans des domaines qui ne sont a priori pas touchés directement par les restrictions sanitaires (remplacement de meubles usagés, consommation de viande ou de poisson, faire face à une dépense non prévue d’environ 1 000 euros). Cette situation se vérifie dans tous les domaines de consommation, à l’exception des difficultés de paiement, dont la fréquence augmente très légèrement.
tableauFigure 2 – Motifs de privation de certaines activités
2018 | 2019 | 2020r | 2021 | |
---|---|---|---|---|
Pratique d’une activité de loisirs payante | ||||
Non pour raisons financières | 12,2 | 13,5 | 14,2 | 11,4 |
Non pour autres raisons | 29,1 | 29,4 | 32,0 | 63,8 |
Se retrouver autour d’un verre ou d’un repas entre amis | ||||
Non pour raisons financières | 5,2 | 6,0 | 6,7 | 4,8 |
Non pour autres raisons | 5,4 | 6,2 | 9,8 | 35,5 |
- r : données révisées, p : données provisoires. En 2020, l’enquête SRCV a fait l’objet d’une refonte : la durée du panel est passée de 9 ans à 4 ans et les traitements statistiques (pondérations et imputations) ont été revus. Cette refonte génère une rupture de série, qui impacte légèrement à la hausse le taux de privation matérielle et sociale.
- Lecture : en 2021, 11,4 % des personnes de 16 ans ou plus n’ont pas pratiqué d’activités de loisirs payantes pour raisons financières et 63,8 % pour d’autres raisons. Ce chiffre n’était que de 29,4 % en 2019 avant la pandémie.
- Champ : France métropolitaine, personnes vivant en logement ordinaire, de 16 ans ou plus.
- Source : Insee, enquêtes SRCV 2018 à 2021.
En 2021, moins de personnes en situation de privation matérielle et sociale à tous les âges
La part de personnes en situation de privation matérielle et sociale diminue en 2021, quel que soit l’âge et le type de ménage. La part des personnes de 75 ans ou plus en situation de privation matérielle commence à baisser fortement dès 2020, chutant de 11,2 % à 8,0 % entre 2019 et 2020 pour atteindre 7,8 % en 2021. Les jeunes sont, quant à eux, plus nombreux en situation de privation en 2020 : le taux de privation matérielle et sociale des 16-29 ans, jeunes actifs ou étudiants, augmente fortement en 2020, 15,4 % contre 11,5 % en 2019, avant de retrouver en 2021 un niveau comparable à celui de 2019 (12,2 %).
Quel que soit le niveau de diplôme, la situation sur le marché du travail, la catégorie sociale, le type de ménage ou même l’état de santé (sauf pour les personnes en très mauvaise santé), la part des personnes en situation de privation matérielle ou sociale diminue en 2021.
Sources
L'enquête statistique sur les ressources et conditions de vie (dispositif SRCV) porte
sur les revenus, la situation financière et les conditions de vie des ménages. Cette
enquête est la partie française du sys-tème communautaire EU-Silc (European Union-Statistics
on Income and Living Conditions). Elle sert de référence pour les comparaisons de
taux de pauvreté et de distributions des revenus entre États membres de l'Union Européenne
et pour les actions communautaires de lutte contre l'exclusion.
La mesure de la privation matérielle et sociale complète l'appréhension des
phénomènes de pauvreté monétaire et d'exclusion. Elle vise à repérer les privations
subies, dans une liste qui rassemble les élé-ments constitutifs d'un bien-être matériel
standard, c'est-à-dire largement diffusés dans la population.
Cette publication présente la mesure annuelle des difficultés en conditions
de vie et privations des per-sonnes de France métropolitaine depuis 2013. Les difficultés
présentées sont les 13 composantes rete-nues dans le calcul de l'indicateur européen de privation matérielle et sociale.
Une présentation générale de l'enquête SRCV est accessible dans la rubrique « Définitions, Méthodes et Qualité » du site insee.fr.
L’enquête SRCV a fait l’objet d’une refonte : la durée du panel est passée de 9 ans à 4 ans et les traitements statistiques (pondérations et imputations) ont été revus. Cette refonte génère une rupture de série entre 2019 et 2020, qui impacte légèrement à la hausse le taux de la privation matérielle et sociale.
Définitions
Pauvreté non monétaire
Ce concept peut désigner trois indicateurs distincts : l'indicateur français qui existe depuis 2004, l'indi-cateur européen de privation matérielle, existant depuis 2007, et le nouvel indicateur européen de privation matérielle et sociale, utilisé dans cet Insee Résultat, mis en place en 2017 et calculable depuis 2013.
Privation matérielle et sociale
Cet indicateur européen se base sur une liste d'éléments de la vie courante recensant
à la fois des res-trictions de consommation dues à l’insuffisance de ressources mais
aussi des limitations apparentées à des aspects plus sociaux et relationnels de l’existence,
tels que l’accès à des loisirs ou la possibilité de recevoir ou de retrouver à l’extérieur
des amis ou de la famille pour dîner. Il mesure la part de la population qui n'a pas
accès à au moins 5 éléments sur les 13 mesurés. Il est calculé au niveau individuel
et non au niveau ménage. Un calcul spécifique est réalisé pour les jeunes de moins
de 16 ans pour qui seules les privations mesurées au niveau du ménage sont disponibles
puisqu’ils ne répondent pas au ques-tionnaire individuel. Ce sont les privations individuelles
des adultes du ménage qui leur sont attribuées.
Les éléments de la vie courante pris en compte dans cet indicateur sont :
- au niveau individuel
- ne pas pouvoir s’acheter de vêtements neufs pour des raisons financières
- ne pas posséder deux paires de chaussures pour des raisons financières
- ne pas pouvoir se réunir avec des amis ou de la famille autour d’un verre ou d’un repas au moins une fois par mois pour des raisons financières
- ne pas pouvoir dépenser une petite somme pour soi-même sans avoir à consulter les autres membres du ménage
- ne pas pouvoir avoir une activité de loisirs régulière par manque de moyens financiers
- ne pas avoir accès à Internet pour un usage privé par manque de moyens financiers.
- au niveau du ménage
- avoir des arriérés de traites d’achats à crédit, loyers, emprunts ou factures d’eau / gaz / électricité / téléphone
- ne pas pouvoir faire face à des dépenses imprévues d’un montant d’environ 1 000 euros
- ne pas pouvoir maintenir le logement à bonne température pour des raisons financières
- ne pas pouvoir se payer une semaine de vacances dans l’année hors du domicile
- être dans l’incapacité de remplacer des meubles abîmés pour des raisons financières
- ne pas pouvoir manger de la viande, du poulet ou du poisson (ou équivalent végétarien) tous les deux jours pour des raisons financières
- ne pas pouvoir se payer une voiture personnelle
Pauvreté en conditions de vie
Cet indicateur était jusque-là l’indicateur utilisé en France pour mesurer la pauvreté
non-monétaire. Un ménage est considéré comme pauvre en conditions de vie s'il subit
au moins 8 privations parmi une liste de 27 possibles regroupées en 4 dimensions :
insuffisance de ressources, retards de paiement, restrictions de consommation et difficultés
de logement. Chacun des 27 indicateurs correspond à la privation d'un élément de bien-être
standard largement diffusé dans la population française.
Il a pu être calculé à partir de l’enquête SRCV 2019 (voir Insee Résultats Pauvreté en Conditions de vie) mais dès 2020, certains de ses items sortant du questionnaire, il ne sera plus disponible.
Formulation des questions sur les privations matérielles et sociales prises en compte dans l’indicateur européen à 13 items
Questions posées au niveau individuel, aux personnes âgées de 16 ans ou plus :
Possession de deux paires de chaussures
- « Possédez-vous deux paires de bonnes chaussures ? »
Une notification est présente : « Chaussures à votre pointure et en bon état, dont au moins une pour la pluie et le froid »- 1. Oui
- 2. Non, parce que vous n’en avez pas les moyens
- 3. Non, pour d’autres raisons.
Achat de vêtements neufs
- « Lorsque vos vêtements sont usés, pouvez-vous acheter des vêtements neufs (et non
pas d'occasion) ? »
- 1. Oui
- 2. Non, parce que vous n’en avez pas les moyens
- 3. Non, pour d’autres raisons.
Difficulté à faire des petites dépenses chaque semaine
- « Pouvez-vous, chaque semaine, dépenser une petite somme d’argent pour vous-même comme
par exemple aller au cinéma, chez le coiffeur, acheter un cadeau à un ami,etc. (sans
avoir à consulter les autres membres du ménage) ? »
- 1. Oui
- 2. Non, parce que vous n’en avez pas les moyens
- 3. Non, pour d’autres raisons.
Réception des parents ou d’amis
- « Vous retrouvez-vous avec de la famille ou des amis autour d’un verre ou d’un repas
au moins une fois par mois ? »
- 1. Oui
- 2. Non, parce que vous n’en avez pas les moyens
- 3. Non, pour d’autres raisons.
Activité de loisir payante
- « Avez-vous régulièrement une activité de loisir payante, comme faire du sport, aller
au cinéma, à un concert, etc. ? »
- 1. Oui
- 2. Non, parce que vous n’en avez pas les moyens
- 3. Non, pour d’autres raisons.
Une notification est présente : « L’activité doit être pratiquée en dehors du domicile »
Accès à Internet à domicile
- « Disposez-vous d’un accès à Internet à domicile pour votre usage privé ? »
- 1. Oui
- 2. Non, parce que vous n’en avez pas les moyens
- 3. Non, pour d’autres raisons.
Questions posées au niveau du ménage :
Paiement d’une semaine de vacances dans l’année
- « Les moyens financiers de votre ménage vous permettent-ils (ou vous permettraient-ils si vous en éprouviez le besoin, si vous n'étiez pas contraint par ailleurs) de vous payer une semaine de vacances en dehors de chez vous une fois par an, y compris les séjours en résidence secondaire, dans la famille ou chez des amis ? »
Capacité à remplacer des meubles abîmés
- « Les moyens financiers de votre ménage vous permettent-ils (ou permettraient-ils
si vous en éprouviez le besoin, si vous n'étiez pas contraint par ailleurs) de remplacer
des meubles hors d'usage ? »
Le terme « meuble » englobe même une simple chaise.
- Depuis 2020, la formulation de la question est : « Les moyens financiers de votre ménage vous permettent-ils de remplacer des meubles hors d'usage (lit, canapé, commode, armoire) ? »
Maintien du logement à bonne température
- « Les moyens financiers de votre ménage vous permettent-ils (ou permettraient-ils si vous en éprouviez le besoin, si vous n'étiez pas contraint par ailleurs) de maintenir votre logement à bonne température ? »
Possession d’une voiture personnelle
- « Votre ménage dispose-t-il d’une ou plusieurs voitures à usage privé ? »
- Si la réponse est négative : « Est-ce par manque de moyens financiers ? »
Manger de la viande ou du poisson tous les deux jours
- « Les moyens financiers de votre ménage vous permettent-ils (ou permettraient-ils si vous en éprouviez le besoin, si vous n'étiez pas contraint par ailleurs) de manger de la viande, du poulet ou du poisson (ou l'équivalent végétarien) tous les deux jours ? »
Difficulté à faire face à des dépenses imprévues
- « Les moyens financiers de votre ménage vous permettent-ils (ou permettraient-ils
si vous en éprouviez le besoin, si vous n'étiez pas contraint par ailleurs) de faire
face par vos propres moyens à une dépense nécessaire non prévue d’un montant de 1
020 € ? »
Depuis 2017, une notification est présente : « Répondre « non » si le ménage est obligé de faire un emprunt »
Remarque : le montant change chaque année, il est à titre indicatif et est proche du seuil de pauvreté monétaire en France.
Avoir des arriérés de traites d’achats à crédit, de mensualités d’emprunts, de loyer ou de factures
- Cette privation est une synthèse de quatre questions.
Si le ménage répond « oui, au moins une fois » à au moins une des questions suivantes, il est considéré en difficulté de paiement.
Achats : traites à crédit impayés au moins une fois dans l’année
- « Au cours de ces 12 derniers mois, votre ménage a-t-il été, à cause de problèmes
d'argent, dans l'impossibilité de payer à temps des traites d’achats ou de tout autre
prêt ? »
- 1. Oui, une fois
- 2. Oui, au moins deux fois
- 3. Non
- 4. Sans objet
Factures d’électricité, de gaz, d’eau ou de téléphone impayées au moins une fois dans l’année
- « Au cours de ces 12 derniers mois, votre ménage a-t-il été, à cause de problèmes
d'argent, dans l'impossibilité de payer à temps des factures d'électricité, de gaz,
d'eau ou de téléphone ? »
- 1. Oui, une fois
- 2. Oui, au moins deux fois
- 3. Non
- 4. Sans objet
Si le ménage est locataire ou sous-locataire de sa résidence principale
Loyers et charges impayés au moins une fois dans l’année
- « Au cours de ces 12 derniers mois, votre ménage a-t-il été, à cause de problèmes
d'argent, dans l'impossibilité de payer à temps des loyers liés à votre résidence
principale ? »
- 1. Oui, une fois
- 2. Oui, au moins deux fois
- 3. Non
- 4. Sans objet (ne paie pas de loyers)
Si le ménage est propriétaire de sa résidence principale
Logement : traites d’emprunt impayées au moins une fois dans l’année
- « Au cours de ces 12 derniers mois, votre ménage a-t-il été, à cause de problèmes
d'argent, dans l'impossibilité de payer à temps des traites d’emprunts liés à votre
résidence principale ? »
- 1. Oui, une fois
- 2. Oui, au moins deux fois
- 3. Non
- 4. Sans objet (n’avait pas de traites d’emprunts à rembourser au cours des 12 derniers mois)
Pour en savoir plus
« Une personne sur cinq est en situation de pauvreté monétaire ou de privation matérielle et sociale » Insee Focus n°245 Septembre 2021
« Estimation avancée du taux de pauvreté monétaire et des indicateurs d’inégalités : En 2020, le taux de pauvreté monétaire et les inégalités seraient stables » Insee Analyse n° 70 novembre 2021
« En 2020, malgré la crise sanitaire, le pouvoir d’achat des ménages résiste et leur épargne augmente - in France portrait social, coll. » Insee références édition 2021
« Qui est pauvre en Europe ? Deux figures différentes de la pauvreté, par l’approche monétaire ou par la privation matérielle et sociale », in La France dans l’Union européenne, coll. Insee Référence, édition 2019
« Ouvrir dans un nouvel onglet Revisiting the EU material deprivation variables », Statistical working papers, Eurostat, édition 2017
« Ouvrir dans un nouvel onglet Improving the measurement of material deprivation at the European Union level », in Journal of european social policy, 2016
« Ouvrir dans un nouvel ongletPauvreté en conditions de vie en France et pauvreté matérielle dans les pays de l’Union européenne », Les travaux de l’Observatoire, ONPES, édition 2009-2010